Recherche coachs capables de cultiver la confiance des dirigeants ?
Le confinement a représenté un véritable défi pour tous les dirigeants, même s’ils ne l’ont pas tous vécu de la même façon. Comment ont-ils fait pour le gérer le mieux possible ? Comment ne se sont-ils pas laissés déborder, voire démoraliser ?
Pour tenter de gérer cette situation au mieux, il faut comprendre ce qu’il se passe lorsqu’on est confronté à une situation face à laquelle on se sent plus ou moins dépassé.
L’Homme a toujours été en interaction avec son environnement : chaque être vivant n’existe pas que par lui-même, son existence est un va et vient permanent entre la nécessité d’être en interaction avec ses pairs et celle de s’en différencier.
Cela explique, de fait, nombre de réactions de dirigeants car nous y sommes tous soumis. Dès que l’on a la sensation de perdre la maîtrise de ce va et vient, on se sent débordé et c’est la peur qui prédomine. Or, pour qu’une organisation fonctionne bien, la confiance est l’un des facteurs déterminants.
Dans ce type de contexte, qu’est-ce qui va permettre au dirigeant de rassurer ses équipes ?
Il s’agit pour lui d’avoir conscience qu’il est le « générateur de confiance ». Lui seul, dans le contexte de son entreprise, est responsable de la confiance qu’auront ses équipes tout comme il peut être responsable de leurs angoisses. Il doit toujours avoir cela en tête pour maintenir cette confiance. Il doit d’ailleurs diffuser cette confiance tout en prenant en compte les personnalités et les besoins de chacun. La confiance s’instaure aussi en échangeant, en écoutant, en discutant ; bref, en communiquant. En parlant vrai, c’est-à-dire en n’ayant pas peur d’être transparent. Cette situation suscite angoisses et peur chez tout le monde. Cultiver la confiance, celle où chacun peut faire confiance à l’autre permet de se sentir acteur, utile.
En résumé, « se faire confiance » est un facteur-clé au sein de l’entreprise, au-delà même d’un confinement.
Un dirigeant a toujours nécessité de s’entourer de partenaires capables de l’aider à avoir confiance quels que soient les moments qu’il traverse. Un coach d’affaires, par exemple, est capable de lui faire dépasser, dans une situation comme celle que nous traversons, sa culpabilité, ses regrets, ses sentiments d’impuissance qui, en les ressassant, finissent par renforcer le sentiment d’être dépassé par les événements au détriment d’un véritable « lâcher prise » qui lui permettrait d’aller de l’avant.
Le coach d’affaires est justement capable de lui faire dépasser ses sentiments d’impuissance ou de culpabilité pour aller vers un véritable “lâcher prise” qui lui permettra d’aller de l’avant.