Quel dirigeant n’a pas envie de prendre parfois le large en étant assuré que son entreprise fonctionne correctement sans lui ?
Savez-vous que certains y parviennent ?
En réalité, chaque dirigeant devrait pouvoir y arriver, ne serait-ce que pour s’accorder des week-ends prolongés ou des vacances bien méritées et reposantes, sans être vissé à son portable, sans la crainte de devoir interrompre ces bons moments de détente pour répondre à un appel urgent d’un client ou d’un collaborateur.
Penser que le monde s’arrête de tourner en son absence peut faire du bien à son ego, mais finalement, pas forcément du bien à sa santé.
Alors, comment s’y prendre ?
Phase 1 : le projet
À l’instar du monde sportif, ce qui fait la force d’une entreprise, c’est son équipe, avec ses individualités et son jeu collectif. Les différences (d’expérience, de personnalité…) et les diversités (culturelles, genres, d’âge…) forment la richesse de toute collectivité et d’une entreprise en particulier. Ce sont un projet commun et des valeurs partagées qui rassemblent et fédèrent les équipes. C’est là où le dirigeant / la dirigeante doit jouer son rôle de leader, charismatique et inspirant, rassembleur et qui donne envie.
Phase 2 : implication et animation
Ce « projet d’entreprise », plus ou moins ambitieux, plus ou moins en rupture, va être le catalyseur du changement et de la réussite en permettant de définir le futur « désiré » avec des objectifs clairs pour les mois et/ou années à venir. Ce projet doit s’appuyer sur l’adhésion des collaborateurs, idéalement dès sa conception pour un début de démarche de coopération. Ensuite, c’est au dirigeant de définir les règles du jeu en mettant en place l’organisation et l’animation qui vont permettre de fédérer toutes les parties prenantes de l’entreprise vers ces objectifs communs.
Phase 3 : suivi et agilité
C’est là où la notion de co-construction prend toute sa puissance. Le plan d’entreprise va être découpé en objectifs les plus SMART (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporel) possibles. À chacun, ensuite, de s’engager par rapport aux différents objectifs partagés en créant des groupes de travail, en laissant chacun s’exprimer. Vous le constaterez : c’est fou ce que les personnes peuvent avoir comme bonnes idées quand on les laisse s’exprimer sur des sujets bien définis.
Ce travail collectif qui peut s’appuyer sur différents outils d’intelligence collective va permettre aux uns et aux autres de mieux se connaitre, s’exprimer, se comprendre, en assemblant les forces de chacun en un collectif soudé. La réussite de toutes ces actions s’appuiera sur la responsabilité individuelle, la prise d’engagement et leur respect par chacun… et la solidarité entre tous !
Avec une forte dose de « prise raisonnable de risques », pour sortir des principes établis quand ils ne sont plus efficaces, et apprendre à faire confiance, faire confiance à ses « intuitions », à ses envies, aux autres et à soi-même.
Là encore, c’est le dirigeant au travers de son éclairage, son soutien, de la mise à disposition des ressources nécessaires, de ses encouragements et sa reconnaissance qui va entretenir toute cette énergie individuelle et collective.
Un autre élément clé de la réussite de ces actions de progrès en collectif consiste à avancer progressivement, pas à pas (à la mode « Lean »), du « test et mesure », pour apprendre encore davantage à chaque nouveau pas, en favorisant l’échange entre tous, pour encourager (et s’en féliciter) à chaque nouvelle avancée.
Au niveau Le Centre National du Coaching©, nous sommes dans cet état d’esprit de co-construction, en associant à la fois les aspects relationnels comme l’intelligence émotionnelle, l’intelligence collective et les aspects opérationnels (outils, méthodes) pour des équipes plus soudées et épanouies, pour un dirigeant plus serein et qui pourra, ainsi, prendre encore plus de recul.
Testez-nous si toutes ces notions de co-construction et d’équipe solidaire vous intéressent !