En tapant « Coaching » sur internet on trouve pléthore d’offres pour les particuliers. Les mots varient : « Développement personnel, mieux être intérieur, réussite personnelle et professionnelle… ». Constat oblige, le coaching pour les particuliers se démocratise, en revanche on trouve moins d’offres pour les entreprises. Face à ce constat, je me suis demandé la raison pour laquelle on trouvait moins d’offres pour les professionnels… N’y a-t-il pas de marché ? les prestations proposées sont-elles pertinentes ? ou autre hypothèse : Les personnes concernées n’ont peut-être pas vraiment défini en quoi le coaching pourrait leur être bénéfique et dans quelle mesure le coach devrait agir. J’ai eu l’idée de faire cet article en revenant sur trois fondamentaux que tout nouveau coach devrait garder à l’esprit. Un article à lire entre les lignes mais qui s’adresse également aux dirigeants d’entreprises.
Définition du mot coaching
Accompagner, soutenir, épauler, motiver… Voici les mots qui ressortent au travers de ce mot « Coach » On retrouve de nombreuses définitions, mais celle qui explique de manière simple et efficace est la suivante : Coacher, c’est accompagner une personne, une équipe dans l’accomplissement et la réussite de leurs projets. Il faut comprendre performance, évolution, amélioration et en aucun cas « Ordre, obligation… ». Coacher, c’est permettre à une tierce personne d’aller plus loin, de voir ailleurs, de voir différemment, mais surtout de rester aux manettes et de se voir évoluer.
Les fondements du coaching en trois points
Si la notion de coaching pour le grand public se démocratise plus aisément, il n’en est pas de même pour les dirigeants d’entreprise qui considèrent que la performance en elle-même de leurs entreprises leur confère une pleine connaissance. Ne résulterait-il pas une peur de la part de ces entrepreneurs d’être confronté à une autre réalité, celle qu’ils ne savent pas tout et que d’autres protagonistes pourraient les accompagner ? Mais aussi et surtout que « se faire coacher » ne signifie pas perdre le pouvoir mais plutôt l’optimiser.
Maintenant si l’on se place du côté du coach, son rôle sera d’apporter différents éléments de valeurs qui permettront de créer une relation durable et gagnante pour les deux parties. En ce sens, cet article mettra en avant trois points fondamentaux « La création du lien de confiance, la prise de recul autorisée, la performance progressive appliquée »
Les trois commandements du « parfait coach »
La confiance devra se créer : A la différence du consulting qui demande une approche pragmatique et opérationnelle « J’ai un problème à résoudre » ou « Je recherche une ressource que je n’ai pas en interne », le coaching se valorise par une phase psychologique qui demande au coach d’apprendre à connaître la personne qu’il a en face de lui. Cette même réflexion se positionne également au regard du coaché. Dans cette dynamique, il faut considérer une notion de temps pour que chacune des deux parties apprenne à collaborer avec l’autre, se dise les choses et s’ouvre naturellement à de nouvelles évolutions. Le coaching ce n’est donc pas une question de temporalité mais plutôt une notion de lien de confiance pour grandir et réussir ensemble.
Permettre la prise de recul : Se faire coacher n’est pas une chose évidente pour l’esprit qui en tout temps est dans l’action, «la tête dans le guidon.» Même de manière bienveillante le coaché ne sera pas toujours enclin à accepter sans défendre son point de vue, sans donner ses objections, sans vouloir essayer de « contrer » ou de remettre à plus tard la réflexion du coach. C’est à ce moment-là que vous, coach, vous devrez faire preuve d’empathie et d’appréciation pour permettre la prise de recul et laisser le questionnement au coaché « Pourquoi avez-vous soulevé ce point ? » de manière à ce qu’il puisse analyser son mode de fonctionnement. Il ne s’agit pas de juger les réactions mais d’une stimulation de l’esprit qui parfois peut prendre plus ou moins de temps selon les individus.
En performance progressive vous agirez : Avant d’orienter votre parcours vers le métier de coach, vous agissiez dans des visions métiers où les mots « Dynamisme, performances, développement, optimisation, rentabilité étaient de rigueur ». En orientant votre expertise vers les dirigeants, vous irez dans un processus similaire, car ce qui anime un coach de dirigeant, c’est d’abord de voir une entreprise grandir, faire des profits pour satisfaire son dirigeant. Ce qui changera, c’est probablement le fait que le dirigeant, décidé à se faire accompagner pour évoluer, a malgré tout sa vision, sa manière de travailler « Bonne ou à perfectible », et qu’il faut donc pouvoir accepter de jouer la carte de la performance progressive, c’est-à-dire des petits pas tout en privilégiant un esprit positif et ouvert.
En intégrant ces trois points, vous serez capable de prendre la mesure des échanges entre la bienveillance du coach et la volonté du coaché d’optimiser ses performances. Envie d’en savoir plus sur le métier de coach c’est ici – https://www.lecndc.com/contact-us/ . Envie d’en savoir plus sur le coaching c’est ici également https://www.lecndc.com/contact-us/
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